FAUX
Depuis la crise sanitaire, le marché de l’immobilier est profondément chamboulé. Les importations de matériaux de construction et des biens d’équipement sont ralenties. L’inflation s’étend aux secteurs de l’énergie, de l’alimentaire et des services. Les taux d’intérêt des prêts immobiliers augmentent. Quand les fondations sont ébranlées, quelle attitude tenir vis-à-vis de l’immobilier ?
L’attentisme gagne les acheteurs. Face aux incertitudes, investir dans la pierre, et notamment le neuf, reste judicieux.
Les nouvelles normes environnementales telles que la loi « climat et résilience » poussent les propriétaires à mettre sur le marché leurs biens énergivores qui seront bientôt interdits à la location. Les acheteurs ont en tête la consommation énergétique des logements dès la première visite. La nouvelle norme pour les logements neufs RE 2020 garantit des économies pour les futurs occupants. L’arrivée de cette norme accélère l’obsolescence des biens classés F et G et augmente, de fait, la valeur des biens neufs. En parallèle, la rénovation des logements anciens devient plus coûteuse avec les délais d’approvisionnements à rallonge.
Par ailleurs, la mise sur le marché des programmes neufs diminue (restriction des PLU, manque de visibilité sur le coût des matériaux …). Ainsi, l’offre d’immeubles vendus en V.E.F.A (Vente en l’État Futur d’Achèvement) deviendra de plus en plus rare.
Cette raréfaction de l’offre, combinée à la qualité énergétique importante des constructions neuves, viennent consolider la pertinence de ce placement à long terme !
Voilà pourquoi le logement neuf reste une valeur sûre.
